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Encadrement & Sécurité

Les séances d'entrainement sont encadrées par un moniteur diplômé. Le club a actuellement un Brevet d'État, des moniteurs et des initiateurs.

Pratiquer dans un club de la FFCK ou une structure reconnue.

C’est certainement le meilleur moyen de pratiquer en sécurité, les cadres des clubs connaissent leurs parcours familiers, leur matériel, respectent les recommandations réglementaires, assurent leurs participants. Parmi celles-ci, noter les précautions individuelles indispensables : savoir nager (on dit qu’on sait nager lorsqu’on est capble de nager 25 métres et de s’immerger ) et recommandées : porter un gilet de sécurité suffisant pour la taille de la personne et bien attaché, porter des chaussures tenant aux pieds, être habillé suivant la température, protégé du soleil en été (l’eau renvoie les rayons du soleil), attacher ses lunettes si on en porte. Aussi, mettre une jupette pour que l’eau ne rentre pas dans le bateau et porter un casque si la rivière le justifie, et bien sûr être suffisamment en forme.

Pratiquer en famille ou (peu recommandé) en solitaire.

Les mêmes précautions individuelles s’imposent mais s’ajoutent le choix et l’équipement du matériel et le choix des parcours.

Le bateau doit être insubmersible, pour pouvoir s’y accrocher en cas de besoin. Les réserves de flottabilité gonflables spécialement conçues et bien gonflées sont idéales, mais une grosse chambre à air gonflée ou des gros blocs de polystyrène arrimés peuvent faire l’affaire. Les bateaux en polyester sont plus denses que l’eau et coulent à défaut. Les bateaux en polyéthylène sont moins denses et ne s’enfoncent pas mais sont tellement plus agréables à vider quand il contiennent moins d’eau.

Le canoë est un sport peu dangereux, si l’on respecte quelques précautions mais qui provoque des noyades par ignorance des dangers. L’un de ces dangers, se nomme RAPPEL, généralement barrage à rappel. Un barrage, artificiel généralement, parfois un seuil naturel, rappelle ou amène en surface l’eau qui qui est passée et ce qui y flotte au pied du barrage. Un nageur qui flotte, ou le bateau est ainsi constamment ramené au pied du barrage. La solution est très simple, on ne saute pas les barrages à rappel, et quand on ne sait pas les reconnaître, on s’abstient de sauter les barrages en débarquant bien en amont, et réembarquant bien en aval.

L’autre danger est celui des arbres tombés, ou dont les branches pendent dans le courant. Les branches retiennent le pagayeur, le courant pousse l’embarcation, on chavire et on ressort sous les branches, si par chance elles ne bloquent pas le passage. On évite ce danger lorsque l’on sait assez manœuvrer son bateau (assez pour le courant qu’il y a) en passant au loin.

Et naturellement choisir un parcours à sa portée, connaître les points de sortie, surveiller la météo, connaître aussi ses limites. Dire où l’on va, et pour combien de temps.

A LIRE ET A IMPRIMER AVANT DE SE LANCER : LE CODE DU PRATIQUANT (document PDF - 1 page).

Les pagaies couleur.

La fédération a mis en place dans les structures affiliées un système dit de pagaie couleur, d’ailleurs utilisé par plusieurs pays européens, qui permet à chacun d’avoir des repères de son niveau technique, à mettre en rapport avec les classes des rivières données par les guides.

 

Le club est membre de la Fédération Française de Canoë-Kayak et a dapuis 2001
le label "Club FFCK". Ce Label reconnaît la qualité des animations et services proposés
aux adhérents permanents. Pour en savoir plus : www.ffck.org